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Massimo Rotundo
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Objet précieux et fantasmes sur commandeÀ la fin du XIXe, la société bourgeoise et aristocratique avait un hobby secret : les livres érotiques. Elle en commandait à des artistes confirmés. Ces livres sortaient en éditions numérotées, à des tirages très limités. Chaque client fournissait à l'artiste des indications détaillées sur ses goûts et sa personnalité intime. Protégés par leur haute position sociale, les clients n'avaient rien à craindre de la justice... ce qui n'était pas le cas des auteurs.Dans ce recueil d'histoires courtes magnifiant le plaisir et la sexualité, le sublime dessin classique de Rotundo et son noir et blanc sobre et solennel contrastent magnifiquement avec l'extravagance des situations données en pâture aux fantasmes du lecteur. Drugstore réunit pour la première fois les quatre tomes de la série Ex-Libris Eroticis en une luxueuse intégrale, un objet précieux à ne pas mettre entre toutes les mains.
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L'oracle des Indiens d'Amérique
Laura Tuan, Kaya Walker, Massimo Rotundo
- Véga
- 9 Novembre 2016
- 9782858298174
La culture amérindienne est imprégnée d'une symbolique d'une immense richesse et d'une incroyable puissance.
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Grands écrivains Tome 3 ; Pasolini pig pig pig
Jean Dufaux, Massimo Rotundo
- Glénat
- 24x32
- 15 Septembre 1993
- 9782723415798
En inconditionnel et fin connaisseur de la grande littérature, Jean Dufaux explore des moments peu connus de la vie de quelques écrivains d'exception... Sade, Pasolini, Hemingway, Balzac et Hammett, il fouille les liens invisibles qui unissent la fiction à la réalité. Et, avec la complicité au dessin de Griffo, Malès, Savey et Rotundo, il nous dévoile avec subtilité l'intimité créatrice de ces géants du romanesque...
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A la fin du XIXe, la société bourgeoise et aristocratique pratiquait un hobby secret : les livres érotiques. Elle en commandait à des artistes confirmés, Beardsley, Klinger, Rops, Klimt, Von Bayros. Ces livres sortaient en éditions numérotées, à des tirages extrêmement limités. Et chaque client fournissait à l'artiste des indications détaillées sur ses goûts et sa personnalité intime. Protégés par leur haute position sociale, les clients n'avaient rien à craindre de la justice du temps, bien qu'elle considérât tout écrit ou image de rapportant au sexe comme délictueux. C'était donc, au contraire, les artistes qui devaient rendre des comptes à l'opinion publique et à la loi. Ils étaient souvent montrés du doigt, et sanctionnés pour leurs oeuvres transgressives. La plupart du temps, le contenu de ces précieux livres laissait transparaître la mentalité d'une certaine classe et d'une certaine époque, où l'homme était au centre du monde, sa virilité symbolisant la supériorité, alors que la femme était reléguée dans un rôle passif. Pour ce qui me concerne, L'Ex-libris Eroticis rassemble des histoires courtes, évoquant les thèmes et l'influence liberty, mais où l'homme et la femme sont les deux faces d'une même médaille, et où l'amour et le sexe déclenchent les événements de la vie.
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A la fin du XIXe, la société bourgeoise et aristocratique pratiquait un hobby secret : les livres érotiques. Elle en commandait à des artistes confirmés, Beardsley, Klinger, Rops, Klimt, Von Bayros. Ces livres sortaient en éditions numérotées, à des tirages extrêmement limités. Et chaque client fournissait à l'artiste des indications détaillées sur ses goûts et sa personnalité intime. Protégés par leur haute position sociale, les clients n'avaient rien à craindre de la justice du temps, bien qu'elle considérât tout écrit ou image de rapportant au sexe comme délictueux. C'était donc, au contraire, les artistes qui devaient rendre des comptes à l'opinion publique et à la loi. Ils étaient souvent montrés du doigt, et sanctionnés pour leurs oeuvres transgressives. La plupart du temps, le contenu de ces précieux livres laissait transparaître la mentalité d'une certaine classe et d'une certaine époque, où l'homme était au centre du monde, sa virilité symbolisant la supériorité, alors que la femme était reléguée dans un rôle passif. Pour ce qui me concerne, L'Ex-libris Eroticis rassemble des histoires courtes, évoquant les thèmes et l'influence liberty, mais où l'homme et la femme sont les deux faces d'une même médaille, et où l'amour et le sexe déclenchent les événements de la vie.
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A la fin du XIXe, la société bourgeoise et aristocratique pratiquait un hobby secret : les livres érotiques. Elle en commandait à des artistes confirmés, Beardsley, Klinger, Rops, Klimt, Von Bayros. Ces livres sortaient en éditions numérotées, à des tirages extrêmement limités. Et chaque client fournissait à l'artiste des indications détaillées sur ses goûts et sa personnalité intime. Protégés par leur haute position sociale, les clients n'avaient rien à craindre de la justice du temps, bien qu'elle considérât tout écrit ou image de rapportant au sexe comme délictueux. C'était donc, au contraire, les artistes qui devaient rendre des comptes à l'opinion publique et à la loi. Ils étaient souvent montrés du doigt, et sanctionnés pour leurs oeuvres transgressives. La plupart du temps, le contenu de ces précieux livres laissait transparaître la mentalité d'une certaine classe et d'une certaine époque, où l'homme était au centre du monde, sa virilité symbolisant la supériorité, alors que la femme était reléguée dans un rôle passif. Pour ce qui me concerne, L'Ex-libris Eroticis rassemble des histoires courtes, évoquant les thèmes et l'influence liberty, mais où l'homme et la femme sont les deux faces d'une même médaille, et où l'amour et le sexe déclenchent les événements de la vie.
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A la fin du XIXe, la société bourgeoise et aristocratique pratiquait un hobby secret : les livres érotiques. Elle en commandait à des artistes confirmés, Beardsley, Klinger, Rops, Klimt, Von Bayros. Ces livres sortaient en éditions numérotées, à des tirages extrêmement limités. Et chaque client fournissait à l'artiste des indications détaillées sur ses goûts et sa personnalité intime. Protégés par leur haute position sociale, les clients n'avaient rien à craindre de la justice du temps, bien qu'elle considérât tout écrit ou image de rapportant au sexe comme délictueux. C'était donc, au contraire, les artistes qui devaient rendre des comptes à l'opinion publique et à la loi. Ils étaient souvent montrés du doigt, et sanctionnés pour leurs oeuvres transgressives. La plupart du temps, le contenu de ces précieux livres laissait transparaître la mentalité d'une certaine classe et d'une certaine époque, où l'homme était au centre du monde, sa virilité symbolisant la supériorité, alors que la femme était reléguée dans un rôle passif. Pour ce qui me concerne, L'Ex-libris Eroticis rassemble des histoires courtes, évoquant les thèmes et l'influence liberty, mais où l'homme et la femme sont les deux faces d'une même médaille, et où l'amour et le sexe déclenchent les événements de la vie
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Prédiction Tome 3 ; sur le fil
Pierre Makyo, Massimo Rotundo, Marie Galopin
- DELCOURT
- Machination
- 15 Juin 2011
- 9782756013879
Mélodie est décédée dans l'incendie. Elle n'a pas survécu à ses blessures, mais l'esprit sombre qui l'habitait n'est pas mort avec elle. Il est passé dans le corps du professeur Tempes. Lorsque David Lozowick s'en aperçoit, il décide de sortir Carole des griffes du professeur et de l'emmener loin de l'hôpital. Mais il doit faire vite, car, selon la prédiction, David n'a plus que deux jours à vivre.
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Prédiction Tome 2 ; statue vivante
Pierre Makyo, Massimo Rotundo, Tenderini
- DELCOURT
- Machination
- 4 Juin 2008
- 9782756003177
Dix jours... C'est le temps qu'il reste à vivre à David Lozowick selon Mélodie Moor, une psychotique qui terrorise par ses prédictions morbides l'asile dans lequel est internée son épouse, Carole. David ne veut pas croire au décompte mortel annoncé, mais, tourmenté par l'attente de la date fatidique, il entame la restauration de la statue de l'église Notre-Dame-du-Sphinx. Dès lors, une étrange sensation s'empare de Carole...