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Bandes dessinées
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Le syllogomaniaque : une enquête typographique de Détective Rollmops
Renaud Farace, Olivier Philipponneau
- Polystyrene
- Facades
- 7 Avril 2023
- 9791090180321
Le détective le plus oubapien du monde se met sur les traces du voleur de la lettre O. Une façade toute en gravure sur bois, fidèle au style qui fait le charme des aventures de Détective Rollmops. Elle est par ailleurs un quasi-lipogramme puisque jusqu'à la résolution de l'enquête, la 15e lettre de l'alphabet manque.
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Un poète en mal d'inspiration descend à la cave chercher de quoi boire. En chemin, toutes les tentations de la vie essayent de l'attirer à elles, en vain. Le vin est toujours le plus fort !
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Deux géantes et leurs rapports houleux, dans un immeuble bien trop petit pour elles.
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Sarah Bernhardt vue par... Sarah Bernhardt. Ici tous les textes sont de l'actrice elle-même et le mobilier est lui-même largement inspiré des sculptures de la comédienne.
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Alex Chauvel nous offre un court récit dans la lignée directe de Toutes les mers par temps calme, à la fois muet et saturé de bruits et d'informations. Sur un arbre gigantesque peuplé par des créatures toutes plus étranges les unes que les autres, un petit être s'éloigne du confort des cîmes et brave tous les dangers pour descendre toujours plus bas.
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Émilie Gleason se lance sur le terrain du téléphone arabe, encore inexploré dans la collection Façades. Sur la base d'une rumeur absurde qui se propage et se transforme, on se retrouve, étage après étage, face à des scènes étonnantes, donnant systématiquement raison à chaque étape de la rumeur.
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Une façade épique et muette, dessinée tout en pixels, et rappelant l'esthétique des jeux d'arcades et des consoles 8-bit.
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La police enquête sur un meurtre par défenestration. Le commissaire et l'inspecteur Hollow interrogent les habitants de chaque étage de l'immeuble au pied duquel le corps a été retrouvé. Au lecteur de les aider à trouver le coupable.
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Un plongeur se jette à l'eau dans une piscine qui semble tout à fait normale, de premier abord. Mais plus on se rapproche du fond, plus la piscine se remplit d'animaux gigantesques et de monstres marins...
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Un naufrage en mer, et le malheureux équipage se retrouve emporté au fond des flots, croisant sur le chemin de sa mort toute une faune marine arrivée tout droit des anciens mythes grecs. Et la lumière ne fut plus.
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La cabane au fond du trou est le huitième livre de la collection Façades. Chaque livre de cette collection est un leporello présentant un immeuble en vue de coupe. Un immeuble-monde, qui contient tout l'univers, voilà ce que nous propose Fräneck. À chaque étage : un point de vue sur les choses.
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De quel étage est tombé le jeune homme dont le corps gît au bas de l'immeuble ? Le commissaire et monsieur Pantaléon interrogent les locataires étage par étage. Au lecteur de les aider à découvrir qui a poussé la victime.
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Une nouvelle façade, inspirée d'un poème persan, le Masnavi de Rumi. Pour les amateurs de Contes et de motifs. Un homme qui vient de dilapider sa fortune rêve d'un trésor dont il se met en quête. Après avoir écouté le rêve d'un autre homme rencontré loin de chez lui, il comprendra que le rêve se trouve sous sa propre demeure.
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2046. Tous les pays ont été rachetés par de grands groupes privés. La classe moyenne a disparu et les 0,2 pour cent de riches se cachent tandis que la 6e guerre économique mondiale fait des ravages. Pourtant, quelque part, en République simplifiée Free de France des consommateurs s'organisent...
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La Confiture nous emmène dans un immeuble habité par toutes sortes de créatures issues du folklore traditionnel : une jeune sorcière, un petit loup-garou, et un vampire. Chacun se prépare à passer la nuit dehors, et pour cause : c'est la pleine lune !
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Chacune des pages est prédécoupée afin que le lecteur puisse la détacher du livre et y appliquer la manipulation indiquée. Mais au fil des pages, la manipulation tourne à l'absurde pour en arriver à des consignes comme : "Place la fiche au-dessus d'un récipient contenant des viscères" ou encore : "Asperge la deuxième case d'insecticide". L'humour y est noir, parfois premier degré, d'autres fois cynique et même politique.
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Aurélien Fernandez, habitué au comique, présente un récit décalé, détournant l'ambiance habituelle de l'Horreur pour la ramener à un récit plus quotidien, aux personnages animés par des préoccupations triviales. Un squelette et un fantôme émergent après une soirée difficile. Il leur faut pourtant aller au travail, gueule de bois ou pas !
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Ludovic Rio propose avec "Principes de conversation", une belle plaisanterie graphique pour amateurs de films de genres.
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Malgré son apparence tout à fait respectable, un immeuble semble abandonné depuis des temps immémoriaux. Ce n'est pourtant pas faute, pour les habitants, d'avoir tiré la sonnette d'alarme !
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Cette façade nous présente un établissement de bains largement inspiré du voyage de Chihiro. Les Yokai y sont en effervescence : la parade des humains est en approche et il s'agit de ne pas la rater. Le titre fait référence à la parade nocturne des 100 démons, élément classique du folklore japonais.
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Un être venu d'ailleurs tente tant bien que mal de rejoindre une grosse fête dans les égoûts. C'est sans compter sur la ténacité d'un habitant plus curieux que les autres, bien décidé à savoir qui est cet être.
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Quatre séries de dix planches muettes qui se déplient et peuvent se lire dans n'importe quel ordre, selon trois méthodes différentes, formant ainsi un nombre presque infini d'histoires différentes.
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Un chercheur dévale les escaliers de l'observatoire pour annoncer à ses collègues ce qu'il vient de découvrir. Chaque étage est un univers peuplé de plantes et d'animaux.
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Polychromie est un ouvrage collectif où 15 auteurs ont réalisé entre 4 et 16 pages en suivant la même contrainte. Le livre est composé de deux couleurs (rouge & bleu). Pour lire la couche rouge, il faut utiliser le filtre bleu et pour lire la couche bleu il faut utiliser le filtre rouge. La thématique générale du livre rend hommage aux Villes Invisible, d'Italo Calvino : confrontant l'individu à son environnement, à ses souvenirs et à sa condition.