Anglais Gianni berengo gardin ; caffè Florian (édition en anglais)

À propos

A photographic portrait of the oldest coffeehouse in Italy. Caffe Florian in St. Mark's Square has always been the high-society "drawing room" of Venice. And Gianni Berengo Gardin, an adoptive Venetian, has always had close ties with the city where he began his career. This book is the result of his photographing a week in the life of the historic cafe which boasts habitues from the past such as Casanova and Byron. Berengo Gardin has sat in his usual discreet fashion on the plush small red divans in Florian's and captured around forty timeless moments from everyday life. The black-and-white images provide a wonderful insight into the reality of Florian's, which is about to celebrate three hundred years of glorious social life. In fact, the cafe was opened under the Procuratie Nuove by Floriano Francesconi in 1720. Now a major photographer has prepared a magnificent birthday gift for a place that has seen centuries of history.


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  • Auteur(s)

    Gianni Berengo-Gardin

  • Éditeur

    Dap Artbook

  • Distributeur

    Interart

  • Date de parution

    04/03/2014

  • EAN

    9788831716444

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Nombre de pages

    96 Pages

  • Poids

    601 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Relié  

Gianni Berengo Gardin

  • Naissance : 1-1-1930
  • Age : 95 ans
  • Pays : Italie
  • Langue : Italien

Gianni Berengo Gardin (né en1930), considéré comme l'un des plus grands photographes italiens, est, à plus de 94 ans, le témoin infatigable de la seconde moitié du ??e siècle en Europe. Mais il a surtout sillonné son pays et recueilli quantité d'histoires des petits et grands changements qui l'ont traversé. Peu marqué par la vision néoréaliste qui dominait en Italie au temps de ses premiers pas, il choisit très tôt de témoigner, exclusivement en noir et blanc, sans parti-pris politique, de la réalité des ouvriers, des déracinés du Sud (I teroni) mais aussi des marginaux, des Roms et des internés psychiatriques. Malgré son appartenance déclarée à l'école humaniste, nourrie des images d'Henri Cartier-Bresson, il n'a jamais cherché l'image singulière, capable de synthétiser l'événement, mais il a cultivé le besoin d'approfondir, d'entrer dans les détails. Les livres ont toujours été son terrain de prédilection, d'abord imposé avec une certaine difficulté à ceux qui lui passaient commande, ensuite de façon naturelle, presque inévitable. Il en a fait plus de 250. Pour lui, ce qui compte n'est pas tant "comment" on photographie que ce que l'on photographie. C'est une déclaration d'une grande humilité, prononcée comme une vérité indiscutable, et c'est la clé pour comprendre la qualité, simple et complexe, humaine et professionnelle de ce maître italien.

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